Home » Авторы » M » "Magnan Pierre"

Magnan Pierre: Chronique d'un château hante

Скачать книгу (размер 2 375 Kb , формат fb2, страниц 467) Аннотация: Février 1349. Un rat moribond vient choir dans l'immense chaudron d'une daube mijotant pour les festivités de Mardi gras: c'est le début de la Peste noire à Manosque..

Magnan Pierre: Laure du bout du monde

Скачать книгу (размер 1 488 Kb , формат fb2, страниц 293) Аннотация: »- Qu'est-ce que ça veut dire aimer? — Je l'ai lu dans un livre, dit Laure. — À la maison, depuis que je suis né, personne, tu entends bien? personne n'a jamais prononcé ce mot. Le mot aimer et le mot tendresse n'ont jamais fait souche ici. Le bonheur, ajouta le grand-père, c'est une distraction de riches». Voici ce qu'on pense du sentiment à Eourres quand Laure…

Magnan Pierre: Apprenti

Скачать книгу (размер 1 931 Kb , формат fb2, страниц 380) Аннотация: Je n'ai pas accompli mon rêve d'enfant: manœuvre maçon pour gagner 10 francs par jour. Mais à seize ans, j'ai écrit Périple d'un cachalot, un roman de trois cent cinquante pages qu'on lit encore aujourd'hui. J'ai donc décidé de raconter ma vie dans un livre qui ressemble comme un frère à l'un de mes romans. Mes lecteurs y apprendront que je fus…

Magnan Pierre: La Naine

Скачать книгу (размер 1 727 Kb , формат fb2, страниц 340) Аннотация: L'été de ses quatorze ans, au début des années 20, alors qu'il est apprenti dans l'imprimerie locale, une naine, à la fois méprisée et crainte, est tombée amoureuse de Jean, le narrateur. Le cadre de ce roman fortement autobiographique est une petite ville agricole de la Provence chère à l'auteur, et plus précisément la place principale…

Magnan Pierre: Pour Saluer Giono

Скачать книгу (размер 942 Kb , формат fb2, страниц 186) Аннотация: Au Contadour (en 1937, Pierre Magnan a quinze ans), quand Giono, Lucien ou Fluchère ne nous font pas la lecture, la grosse question est de savoir ce qu'on fera en cas de guerre: renvoyer son fascicule de mobilisation, résister aux gendarmes, faire un fort Chabrol de la paix, se laisser fusiller sur place et pour les femmes se coucher sur les rails dans les gares. Je n'entendrai jamais…